L'excision, dans un temps révolu, a été le principal outil d'asservissement de la femme.







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Ce sont les femmes qui feront disparaître cette barbarie.
Pourtant ce sont elles les vestales qui veillent et font vivre cette tradition barbare. La route est prise, mais le chemin est long.

Lisez bien ce texte, et imaginez ce qui se passe :
- Quand on se saisit d'une fillette de quelques mois ou d'une adolescente pour la soumettre au traitement barbare de l'excision.
- La victime est maintenue couchée les jambes écartées. Si elle est assez grande, on aura recours à 2 ou 3 aides-assistantes pour la maintenir.
- Une femme pourra se coucher sur elle en ouvrant ses cuisses de ses deux chevilles écartées.

- Des "assistantes" présentes sont là pour porter main-forte s'il le faut. Beaucoup de personnes instruites, d'apparence et de statut "honorables" trouvent cette pratique saine et indispensable à la moralité et au bon comportement des femmes face à leur désir sexuel insatiable et vagabond.
Dans les régions qui ont toujours pratiqué l'esclavage, qui ont vendu des esclaves aux occidentaux et qui pratiquent encore des formes d'esclavage sans état d'âme, la femme est l'esclave de l'esclave et esclave de tous les hommes.
On va se saisir d'elle, couper ses organes sexuels, lui coudre le vagin.
Tous les arguments de tradition, de religion, de rites initiatiques ne sont que balivernes hypocrites et terrorisantes pour perpétuer la plus grande barbarie qui soit dans notre temps, qui se pratique au sein de la famille et du groupe social.
La circoncision féminine dite sunnah, est en conformité nous dit-on avec certaines religions ! Est-ce un bon argument ?
Il suffirait donc de dire et de faire répéter la chose la plus abominable pour en faire un acte de foi religieuse.
Les milieux religieux les plus modérés adeptes de cette pratique, demandent qu'on excise le capuchon du clitoris ainsi que les parties postérieures les plus importantes des petites lèvres :
C'est La clitoridectomie ou excision. Cette opération se pratique en Egypte. Et de quel droit ?
Au Soudan et en Somalie par exemple, on préfère la circoncision "pharaonique". C'est l'ablation totale du clitoris, des petites lèvres et d'une partie des grandes lèvres.
On va coudre ensemble les deux bords de la vulve avec les moyens qu'on a : fils ou épines comme en Somalie afin de tenir la vulve fermée.
Un petit orifice sera laissé pour l'urine et les menstrues. La future femme est prête pour mariage et une "consommation" précoces.
Le futur époux a la garantie de la virginité. Pour en profiter, le soir des noces, il devra "ouvrir" sa femme comme un coffre-fort avec son poignard à double tranchant, un couteau ou une lame de rasoir...
voire un éclat de silex. Souvent en certains lieux, à chaque départ du mari, la femme sera recousue pour garantir son abstinence.
Bien entendu à chacun de ses retours, la porte close devra lui être ouvert? On fermera définitivement l'ouverture en cas de divorce pour éviter que la femme n'ait des relations sexuelles avec un autre homme.
On pense à la ceinture de chasteté des contes cruels.