La catastrophe qui a sévi en Asie du Sud-Est est  due le dimanche 26 décembre 2004 à un séisme de force 9, sur l'échelle de Richter. Il est le plus violent depuis celui de 1964 en Alaska. Le bilan de ce tsunami est lourd et ne cesse de s'alourdir. On parle ce mercredi 29 décembre de plus de 70 000 morts et 30 000 disparus. Le nombre de sans-abri dépassera 1 million selon toutes les sources. Les pays les plus touchés sont principalement 
L'Indonésie, Le Sri Lanka, L'Inde, La Thaïlande, la Malaisie, La Birmanie. Moins gravement il y a aussi Les Maldives, La Somalie, La Tanzanie .
De nombreux touristes Européens, Canadien et Américains sont au nombre des victimes.
Il est difficile de prévoir ces catastrophes. Même quand les autorités de veille sont informées, beaucoup de ces pays concernés par les tremblements de terre ne possèdent pas les structures d'alerte pour informer les population et organiser leur déplacement. 
Le phénomène est provoqué par le soulèvement d'une plaque au fond de l'océan. Ce mouvement va générer une vague qui se déplace à 600 ou 800 km/heure. Arrivée sur le rivage, cette vague peut atteint 10 à 15 mètres de haut; elle est suivie de nombreuses autres. Ces flots vont envahir les terres sur plusieurs kilomètres de profondeur sur des centaines de kilomètres de côte. Partout les sols fertiles sont contaminés par le sel, et les eaux de consommation ne sont plus potables. Cette vague d'une puissance inouïe va tout dévaster dans ces régions dont les habitations sont proches du littoral et de construction précaire.

 Les hôtels bondés de touristes en toute saison, sont des bâtisses et paillotes en bois sur pilotis et ne peuvent opposer aucune résistance aux forces mises en jeu. Selon les nouvelles lues à Radio-Canada, la ville d'Aceh a été littéralement rasée par la force de ce tremblement de terre.
Partout, l'aide internationale s'organise, et les besoins de toutes sortes sont manifestes. il faut déblayer les routes afin d'acheminer les secours sur les lieux sinistrés. Etant donné l'ampleur de la catastrophe, il est à prévoir que longtemps les besoins se feront sentir dans tous les secteurs de la santé, de la distribution des denrées alimentaires ( lutte contre la famine) et de la reconstruction. Bien entendu, les particuliers peuvent apporter leur contribution à cette solidarité par envoi de chèques aux institutions comme la Croix-Rouge, Le Secours catholique, Médecins sans frontières et les ONG les plus connues et les plus sérieuses. Les dons en nature sont difficilement transportables.
Dimanche 10 janvier 2005 . Le bilan provisoire de la catastrophe est établi ainsi:
L'Indonésie reste le pays le plus durement touché, avec 104 000 morts et 10 000 disparus.
Le Sri Lanka : 30 700 morts et 4900 disparus.
,L'Inde :10 000 morts et 5600 disparus.
 La Thaïlande 5300 morts et 3500 disparus.
Beaucoup de problèmes de logistique nuisent à l'acheminement et à la distribution des secours pour certaines populations isolées ou oubliées. A cela s'ajoute les problèmes politiques liés à l'existences de groupes armés en rébellion (Les Tigres tamouls au Sri Lanka).
Mercredi 19 janvier 2005 : nouveau bilan : 220 000 morts