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        Contraception: faire le point                                                                                                                                              petitretourvert.jpg (1591 octets)
Deux femmes sur trois âgées de 20 à 49 ans utilisent un moyen de contraception.
La préférence va à la pilule qui peut être adoptée chaque fois qu'il n'y a pas  contre-indication.  58% des 20 à 24 ans et 37% des 20 à 40 ans y ont recours.      

adresses utiles :
"Allo maman-Allo papa"  Montpellier : tel/Fax 04 67 79 66 81
3 615  SOS PAPA
SOS PAPA
Tel: 01 39 76 19 99
Fax 01 30 15 07 43 
Internet: www.sospapa.net
Sources: Valeurs Mutualistes  oct. 1999  MGEN n° 200
Pour les mamans:
http://maman.fr

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  Contraception: faire le point Le choix d'une méthode de contraception ne doit pas être laissé au hasard. Chacun doit l'adapter à sa sexualité .
Seulement les deux tiers des femmes âgées de 20 à 49 ans utilisent un moyen de contraception. La pilule est de loin la méthode la plus utilisée. 58% des 20 à 24 ans et 37% des 20 à 40 ans y ont recours. Le stérilet vient en deuxième position.
Le choix d'une méthode contraceptive doit être adapté à la sexualité, l'âge et l'état de santé. Le suivi médical est la garantie d'un contraception efficace. Encore 15 % des femmes utilisent des méthodes non médicales. Enfin, la pilule d'urgence n'est pas à confondre avec un moyen de contraception.
C'est un cocktail hautement dosé en hormones prescrit par un médecin lorsque la contraception a «été défaillante » ou à la suite de rapports sexuels non protégés.
-> la pilule
Choisie par près d'une femme sur deux, la pilule contraceptive connaît un taux d'échec de seulement 0,5%. Les plus courantes sont les pilules œstro-progestatives qui associent œstrogènes et progestatifs. Leur principale action est de bloquer l'ovulation. Elles doivent être prises trois semaines sur quatre. A la fin de chaque plaquette, les règles surviennent.

 

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Les micro-pilules, dites pilules micro-progestatives, ne contiennent que des progestatifs à doses minimes. Ce contraceptif se prend sans interruption. Il modifie la glaire cervicale et empêche la progression des spermatozoïdes. Cette pilule agit également sur le revêtement de la paroi utérine ce qui rend impossible toute nidation de l'œuf.
                                                                            
-> Le stérilet
Le stérilet est le deuxième moyen contraceptif le plus utilisé en France. Adopté par environ 16% des femmes, sa fiabilité est excellente : 1 à 3% d'échec. Ce petit objet en plastique en forme de T recouvert d'un fil de cuivre est placé dans l'utérus. Il empêche la nidation de l'œuf.
Il existe également des stérilets qui diffusent l'hormone progestative en petites quantités et qui sont particulièrement recommandés aux femmes ayant des règles très abondantes. L'effet de cette hormone est le même qu'avec la pilule. L'avantage est que l'hormone agit directement au niveau de la muqueuse de l'utérus, ce qui permet un dosage plus faible.
Il existe des effets secondaires comme des règles importantes et douloureuses, plus rarement des complications pouvant mener à la stérilité. C'est pourquoi on évite généralement de prescrire le stérilet à des jeunes femmes qui n'ont pas encore d'enfant.
La pose du stérilet par le gynécologue est désagréable, voire douloureuse. Mais une fois en place, la femme ne le sent plus du tout. Il est important de contrôler régulièrement si le stérilet reste bien positionné. On le remplace tous les deux à cinq ans, selon les modèles.

-> Le préservatif
Le préservatif est le plus ancien moyen de protection contre les maladies sexuellement transmissibles et les grossesses non désirées. Son usage s'est développé puisque la proportion de femmes qui les utilisaient est passée de 4,9% en 1988 à 7,4% en 1994. Chez les 20-24 ans, on note 13,1% d'utilisatrices. Le préservatif a l'avantage d'être relativement bon marché et vendu un peu partout. On note un seul effet secondaire indésirable : une éventuelle réaction allergique au matériau qui le compose (en règle générale le latex) ou au lubrifiant. De nombreux couples utilisent en plus du préservatif des crèmes ou ovules spermicides. Mais attention, certains d'entre eux peuvent ne pas être compatibles avec l'utilisation de préservatifs et rendre ces derniers poreux ou cassants. Une mauvaise utilisation des préservatifs peut entraîner des grossesses accidentelles ou la transmission de maladies sexuelles. C'est pourquoi il est indispensable de se familiariser avec ce moyen de contraception, que l'on soit un homme ou une femme...

-> La contraception locale
Peu utilisé en France, le diaphragme est une sorte de paroi artificielle placée, avant chaque rapport sexuel, dans le fond du vagin qui bloque le passage du sperme dans l'utérus. Conjugué avec une crème spermicide, c'est un moyen de contraception très sûr. Attention cependant aux effets secondaires tels que les réactions allergiques au latex ou encore les irritations des muqueuses vaginales.
Les autres méthodes locales sont composées essentiellement de spermicides. Sous forme d'ovules, d'éponges ou de crèmes, les produits actifs qui les composent détruisent les spermatozoïdes ou les rendent incapables de se déplacer.
Ces méthodes locales répétitives et contraignantes demandent un certain apprentissage et leur taux d'échec avoisine les 5%. Ces produits, utilisés seuls, ne constituent pas un mode de contraception suffisamment fiable, il est préférable de les utiliser en plus d'un préservatif. De plus ils ne conviennent pas à une utilisation régulière car ils peuvent provoquer des irritations des muqueuses intimes.
-> Les méthodes à ne pas encourager
Encore appelés « méthodes naturelles », ces moyens demeurent utilisés par quelque 10 à 15% des couples. Elles ne sont pas fiables puisque leur taux d'échec est estimé à 15%.
La méthode Ogino qui consiste à compter les jours, la méthode des températures (plus de 37° le lendemain de l'ovulation) ou encore la méthode Billings qui repose sur l'observation de la glaire cervicale au fil du cycle, ne sont pas fiables même si elles sont bien maîtrisées. Quand au coïtus interruptus, le retrait avant l'éjaculation, il enregistre un taux d'échec de l'ordre de 1 sur 3.
-> La contraception du futur
Un nouveau mode de contraception à long terme est actuellement testé.
Il consiste en la mise en place d'un implant sous-cutané (sous la peau de l'avant-bras par exemple) de la forme d'un bâtonnet plus petit qu'une allumette. L'hormone diffusée progressivement en petites quantités empêche l'ovulation et transforme la muqueuse utérine en une véritable barrière contre les spermatozoïdes, pendant trois ans. La production naturelle d'œstrogène elle reste inchangée. Lorsque l'on retire l'implant, la femme retrouve un cycle et donc une fécondité normale. Si la femme désire un enfant, il suffit donc de retirer l'implant suffisamment à l'avance. Les effets secondaires signalés sont des règles plus abondantes.
-> Solution extrême
Dans le cas d'une grossesse accidentelle ou non voulue, « la pilule du lendemain » ou « pilule d'urgence » peut être administrée. Elle provoque des saignements et l'évacuation de l'ovule éventuellement fécondé. Le médicament n'agit que s'il est pris à temps, c'est à dire au cours des quarante huit heures suivant le rapport non protégé. Il ne s'agit pas d'un moyen de contraception, mais d'une solution de secours. Pendant les cinq jours qui suivent des rapports non protégés, la mise en place d'un stérilet peut éventuellement enrayer une grossesse non désirée.

Article tiré de urbia.fr, votre espace famille   rviennent.




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