http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=20663
Depuis 1977, l'idée a évolué. Dans un premier temps, pour certains, il y avait la gêne devant la cruauté de la mise à mort de l'animal. On trouvait souvent légitime que l'homme s'approprie les êtres non humains de la planète pour le profit ou le confort. Maintenant, il s'est ajouté une argumentation soutenue par l'approche écologique de préservation de l'espèce et de l'équilibre naturel, de réalisme économique et plus largement celle qui vient de la réflexion sur le rôle de l'homme dans sa relation avec les autres êtres vivants qui ont une sensibilité, une vie sociale et qui sont proches de notre espèce.
On s'étonne qu'en 2008 on continue une telle chasse dont on veut cacher la réalité dégradante avec le faible argument de l'intérêt économique.
Le doux hiver de 2008 au Canada a déjà nui à la reproduction de cette espèce.
Si vous avez une âme solide et si vous êtes bien armés pour soutenir les images cruelles de la chasse aux phoques, visitez les liens que nous avons sur cette page, et naviguez en consultant google.fr (mots clés: massacre, phoques, canada) Vous pourrez aussi signer une des pétitions et envoyer une lettre personnelle au gouvernement canadien. Brigitte Bardot a déjà remis les 200 000 signatures que sa fondation a récoltées. Lisez sa lettre ici: http://www.protection-des-animaux.org/actualites/archives-519.html

La bonne nouvelle pour les phoques- La saison du massacre de 2008 s'ouvre dans un climat maussade. Pour les industriels de la chasse aux phoques et de la commercialisation de la peau de ces animaux le climat est maussade; la chasse est devenue moins lucrative, et le pire est à venir. L'Europe boude ce produit et l'Union Européenne va certainement interdire la commercialisation des dérivés de cette chasse. Certains pays ont déjà cette législation.
On doit ajouter à cela, le prix de l'essence et les stocks importants qui sont encore dans les réserves compte tenu de la mévente des années passées. C'est très bien pour la conservation de l'espèce et tous les opposants à cette chasse doivent trouver à cette conjoncture un avantage pour leur cause.
Il y a bien des problèmes à résoudre dans le monde et la réflexion et l'effort des hommes pourraient se mobiliser pour plus de justice, plus de sécurité alimentaire, une meilleure protection de l'eau et des ressources naturelles. Trop de pays sont incapables du moindre développement à cause de la guerre, et dans les sociétés les plus riches, la classe de ceux qui n'ont pas de logis et dont le salaire ne permet pas la survie, monte.
Laissons un répit aux phoques de la banquise elle-même en perdition.